Sunday, May 27, 2012

Séquence 12 Les plateformes Web 2.0

Réseaux sociauxAgrégateurs de profilsPartage de fichiers
Tous Public
FaceBook
MySpace
Bebo
Hi5
Friendster
Ning
Netlog
MyBlogLog
MyTrybe
EnjoYourParis
Peuplade
Voisineo
Beboomer
Eons
FamiBook
Hellotipi
Famicity
Last.fm
MeetUp
Scribd
Professionnels
LinkedIn
Xing
Viadeo
Namyz
StepRep
RepVine
Interfrench
Thalyseo
Qualiléo
Thématiques
Manolosanctis (BD en ligne)
Jetpack (Développeurs Mozilla)
Playfire (Gamers)
Ecovibio (Habitat bio)
DeviantArt
Virb
Ping.fm
HelloTxt
TweetDeck
Alert Thingy
FriendBinder
Seesmic
Venyo
Zoolit
SocialMix.me
Twhirl
CoTweet
Youtube
Google Vidéos
MetaCafe
DailyMotion
Flickr
Twitpic
SlideShare
Deezer
Spotify
FileSocial
Twitfile
TweetDoc
Vimeo
Picasa
BookMarkingServices de BlogsCatalogues de Blogs
FriendFeed
Digg
Digg FR
Reddit
Diigo
Delicious
Yoolink
Social Bookmark Me
SkyRock
WordPress.com
WordPress.org
TypePad
LiveJournal
Blogger
Overblog
Fotolog
Xanga
Penzu
The Million Blogs
AudioBlogs
Blog Catalog
Technorati
Google Blog Search
Yahoo Search
Blog Pulse
ICEROCKET
Blog Hints
Blogged
BlogFlux
Blog Collection
Blogarama
Blog Search Engine
Globe of Blogs
Blog Explosion
Today
Blogoriffic
Top Blog Area
Blog Bunch
Micro BlogsJournalisme participatifForums et News groups
Twitter
Jaiku
Plazes
Tumblr
Plurk
Obiwi
LePost.fr
Ladies Room
NewsVine
Agoravox
Aaaliens
Owni
Suite101.fr
YouVox
Yahoo Messages Board
Yahoo Groups
Google Groups.
Yelp
Epinions
Ciao
Crowd Storm
Stylehive
TripAdvisor
WikisAgrégateurs de fils RSSMédias Hybrides
Wikipedia
Wikia
BlogLines
MonitorThis
FeedKiller
Netvibes
Google Reader
Technorati
Wikio
Blippr
StumbleUpon
Ulike
Jamespot
Netvibes
Red Panda
Surveillance de RéputationRecherches sur les personnesCollaboration en ligne
Kartoo
How sociable
Omgili
SM2 – Techrigy
Searchles
Brand Titan
My Buzz Monitor
WikiTrust
K.Réputation
Twitrratr
FeelTipTop
TweetFeel
Twitseeker
WINK
SPOCK
PEEKYOU
PIP
123 PEOPLE
YASNI
Klout
Gratuits
IdidWork
Co-Op
Affinitiz
Cubetree
Social Wok
Yonkly
Obayoo
StatusNet
Trillr
Present.ly
Snipia
TribuWeb
Ubidesk
Copper
iZoka
Payants
HeadMix
NewsGator
JoinContact
SocialText
OraTweet
EMSE
Communote
Yammer
RevYou
Cyn.in
BrainPark
SocialCast
Rypple
Yuuguu
YoolinkPro
Jamespot Pro
Surveillance des médias sociauxServices Open IDOutils divers
Addict-o-matic
Ice Rocket
Back Type
SamePoint
YackTrack
Social Mention
Who’sTalkin
Joongel
Rollyo
UberVU
Surchur
Twazzup
Google Blog Serach
Technorati Blog Search
BlogPulse
Google Alerts
WebMii
WikiAlarm
ForumFind
Keotag
Tinker
TuneIn
Monitter
Twitter Tim.es
Listit
TweetTabs
Twitter Search
SideLine
TrendPedia
claimID
FindMeOn
MyOpenID
onXiam
OtherEgo
SocialURL
Echo (design de commentaires)
WordStream (mots clés)
WOT (sécurité en ligne)
Personas (profilage en ligne)
CalTweet (Outil de promotion)

Séquence 11 la cartographie 2.0

http://www.slideshare.net/loichay/cartographie-20

Séquence 10 Les podcasts




http://www.dailymotion.com/video/x3jkji_podcast-sur-les-podcasts-m-lebrun-e_tech

Séquences 9 Les outils de partage



http://www.formation-professionnelle.fr/2012/04/02/top20_des_outils_dedie_au_learning/

Séquence 8 Les wikis

Définition

Un Wiki est un outil très pratique pour le travail de groupe. Il constitue un outil de rédaction collaborative à partir duquel plusieurs collaborateurs pourront compléter, rectifier, supprimer un document de travail commun. Il permet ainsi de centraliser en un seul point d'accès des informations éparses. (kezako)
A noter que tous les wikis ne sont pas forcément accessibles à l’ensemble de la communauté Web. Il est tout à fait possible d'en restreindre l'accès à un intranet par exemple, tel que le font les entreprises ou les universités.
Le site web désigne un site web dynamique dont les pages peuvent être modifiées en vertu de l'écriture numérique et de l'illustration collaborative, par tout visiteur.
Terme WIKI

Le mot « wiki » signifie « rapide » en hawaïen2. Il a été choisi par Ward Cunningham lorsqu'il créa le premier wiki (1995), qu'il appela WikiWikiWeb. Il utilisa le terme « wiki wiki », un redoublement qui signifie « très rapide », « très vite » (« wiki » se traduit par « quick » en anglais, et le redoublement apporte une accentuation du terme3), car c'est le premier terme hawaïen qu'il apprit lorsqu'il dut prendre un bus à la sortie de l'aéroport, et qu'à la création de son site, il voulait un terme amusant pour dire rapide. Dans l'url du site, apparaissait uniquement le terme « wiki », ce qui a probablement poussé les visiteurs à l'appeler ainsi.
Les motivations de Cunningham étaient principalement de relier les expériences de chacun, de permettre de l'être humain de s'exprimer, de garder les traces des interventions dans les forums de discussions, d'offrir la possibilité aux internautes de participer à la création de documents numériques.
Le journal The Economist voit en WIKI, l'acronyme de What I Know Is ("ce que je sais est" "voici ce que je sais")

Un wiki fonctionne grâce à un moteur de wiki : c'est un logiciel installé sur le système hôte du site web.

Qui peut modifier un Wiki ?
Un wiki n'est pas forcément modifiable par tout le monde ; on peut exiger que les visiteurs s'inscrivent avant d'être autorisés à modifier les pages. Dans le cas des wikis qui sont complètement ouverts au public, diverses procédures techniques et sociales sont mises en œuvre pour limiter et annuler les modifications jugées indésirables.
Lorsqu'un wiki autorise des visiteurs anonymes à modifier les pages, c'est l'adresse IP de ces derniers qui les identifie ; les utilisateurs inscrits peuvent quant à eux se connecter sous leur nom d'utilisateur.

Suivi des Modifications et régulations des wikis.
Certains wikis permettent à un contributeur enregistré de suivre l'évolution d'une page, ou les contributions d'une personne en particulier, ou toutes les créations de page par exemple. Ces suivis permettent de réagir rapidement à des actes de vandalismes, ou de spam.
L'accessibilité à un grand nombre de gens à la modification de la page rend nécessaire l'existence d'un historique de ces modifications, ce qui permet de réparer les vandalismes. L'historique indique généralement la date de la modification, et le nom, ou l'adresse IP, de son auteur, ce qui permet d'en discuter avec lui. Il permet alors également le respect du droit d'auteur en gardant une trace de tous les auteurs d'un article.
Source Wikipédia.org

Comment créer un wiki
deux manières de créer un wiki sont possibles :
- télécharger un logiciel et l'installer sur un serveur (exemple Wikini, PmWiki, MediaWiki );
- héberger son wiki (exemple avec CafeWiki, Wikia ).
Quelques guides simples sont proposés par "un blog pour l'information juridique"
-Wiki En Une Minute (une page du WikiWikiWeb, le premier site wiki, créé par Walt Cunningham, un développeur américain qui créa le premier logiciel wiki en 1995)
-les règles pour débuter avec Mediawiki

A quoi set le wiki ?
Le wiki permet le travail collaboratif. Il permet à différents utilisateurs d’apporter leurs contributions à l’intelligence collective. Des modérateurs et des fonctions incluses dans le système de gestion valident ou annulent les modifications.
Le wiki permet aux internautes d’avoir à leur disposition des connaissances disponibles, fruit d’un travail collaboratif. Ils s’exercent également à l’édition et à l’écriture web.
Dans le concept du web 2.0, le wiki est une fonctionnalité permettant l’expression et la participation des internautes à la construction du web social.
Quelques utilisations : dossiers d’information à construire, travaux d’étudiants, préparation de projets, bloc notes, encyclopédies…
 
Le wiki le plus connu et le plus visité sur le web :
Le site wikipédia est le plus connu et le plus visité sur le web. Les statistiques de Alexa Internet, site web produisant les statistiques sur le trafic du web place l’encyclopédie libre en première position parmi les wiki

Séquence 7 Les réseaux sociaux

Comment le géant des médias sociaux décide qui et quoi mettre dans votre flux d’actualité
L’expérience menée durant un mois par The Daily Beast est riche en découverte sur le flux d’actualité :
  • Un parti pris contre les nouveaux inscrits
  • “Les plus récents” n’affichent pas la totalité des nouveaux statuts.
  • Les mises à jour avec liens, photos ou vidéo sont favorisées par rapport aux simples mises à jour de statut.
  • «Matraquer» vos amis ne sert pas à vous faire remarquer.
  • Augmenter votre visibilité en incitant les gens à commenter.
  • Il est difficile d’attirer l’attention des «jeunes branchés».
Facebook, un peu comme Google avec ses algorithmes de recherche, refuse toujours d’expliquer dans les détails comment il décide quel contenu afficher (exception faite des quelques informations datant de quelques années pouvant être glanées sur le moteur énigmatique qui l’alimente, EdgeRank). Avec ce mystérieux ami à l’esprit, The Daily Beast annonce avoir déchiffré quelques éléments du système d’alimentation des nouvelles personnalisées de Facebook.
Pourquoi certains amis semblent apparaître en permanence, tandis que d’autres sont rarement vus? Les clics d’autres amis dans votre réseau ont-ils une incidence sur votre visibilité ? Facebook ne récompense-t-il pas à l’excès certains statuts ou profils ? Et pouvez-vous “traquer” votre chemin dans l’alimentation des nouvelles d’un ami regardant leurs pages et des photos ?
Pour obtenir des réponses, nous avons conçu une expérience, en créant notre propre laboratoire d’essais virtuels avec les données limitées fournies par Facebook et le suivi de milliers de statuts sur une période de plusieurs semaines. Le point central de notre expérience: Phil Simonetti, un nouveau venu de 60 ans sur Facebook dont les seuls contacts sur facebook font partie de nos bénévoles.
Comme un demi-milliard de personnes avant lui, Simonetti a rejoint Facebook et a commencé à mettre à jour son profil. Mais dans ce cas précis, les amis de Simonetti ont été triés sur le volet :  deux douzaines de bénévoles ont accepté de passer au crible leur flux d’actualité pendant la durée de l’expérience, enregistrant consciencieusement toute activité de Phil apparaissant dans leur propre profil. Le rapport de nos bénévoles fait émerger un certain nombre de résultats remarquables :
1. Facebook ne met pas en avant les nouveaux arrivants.
S’il y a une chose que notre expérience a démontré clairement, c’est qu’avec 500 millions de personnes déjà inscrites, il ne reste plus beaucoup de visibilité pour les nouveaux arrivants. Le pauvre Phil a passé sa première semaine à mettre à jour son statut frénétiquement, postant plusieurs fois par jour, mais la plupart de ses “amis” n’en ont jamais vu la couleur. Il a été particulièrement invisible auprès des personnes ayant un réseau bien fourni. Les publications de Phil ont arrêté d’être stériles lorsque nous avons demandé à nos bénévoles d’interagir avec lui.
2. Etre actif sur Facebook n’est pas suffisant mais nécessaire (l’effet Catch 22)
Pour obtenir de la visibilité sur Facebook, vous avez besoin d’amis qui interagissent avec vos statuts d’une certaine façon (plus de détails ci-dessous). Il est toutefois nécessaire de mettre à jour son statut en premier lieu même si ce n’est pas suffisant. (Note de service aux nouveaux arrivants Facebook: essayez de vous faire quelques amis en cliquant comme un fou sur vos propres statuts.)
3. Le sésame pour être dans les actualités “A la une”
La vraie interaction a commencé lorsque nous avons finalement demandé aux différents sous-groupes de notre équipe de bénévoles-amis d’interagir avec Phil de manière contrôlée. Tout à coup, Phil a commencé à apparaître sur les profils. Mais lesquels ? Le système actuel offre aux utilisateurs deux flux différents : “A la une,” un flux hautement sélectif des mises à jour de vos amis, et «Les plus récentes» qui montre les mises à jour en ordre chronologique inverse.
Un tas d’interactions qui ne garantit toutefois pas d’être sur le “A la une” de vos amis, d’autant qu’une grande majorité des utilisateurs de Facebook se contente de ce flux pour rester informer des activités de leur réseau. Certains de nos bénévoles ont rapporté avoir observé des mises à jour régulières de Phil dans ce flux, tandis que d’autres l’ont vu rarement et, dans certains cas, jamais. “A la une ” vous montrera de vieux statuts de quelques amis, tout en ignorant des statuts plus récents d’autres amis.
Facebook a une bonne raison de procéder ainsi : si les utilisateurs venaient à voir tous les statuts de l’ensemble de leurs amis, ils pourraient avoir le sentiment d’être submergés par l’information (ou ennuyés) réduisant l’attention des utilisateurs, ce qui serait une catastrophe pour Facebook qui a besoin de maintenir un certain attrait pour gagner de l’argent. Pour y parvenir, le réseau social a donc mis en place un système affichant une sélection de statuts censés vous intéresser.
Ce qui est devenu évident après deux semaines d’expérience, c’est que ce n’est pas la quantité d’activités que vous avez, mais le type de publication qui est important (plus de détails ci-dessous).
4. «Les plus récentes” , un flux incomplet.
Comme tous les utilisateurs actifs de Facebook le savent, il est très simple de passer des “Nouvelles récentes” à celles qui sont “A la une”. De nombreux utilisateurs pensent, et c’est naturel, que le flux intitulé “les plus récentes” contient chaque mise à jour de tous leurs amis. Or, il n’en est rien, comme l’a démontré notre expérience.
Simonetti a fait des mises à jour simple, avec ou sans liens, photos, vidéos et plusieurs fois par jour. Quelques-uns de nos bénévoles ont constaté que ces éléments ne figuraient pas dans ce flux. (Du moins, pas jusqu’à ce que nous ayons pris des mesures supplémentaires pour améliorer la visibilité de Phil.) Si vous n’avez jamais configurer votre flux (en bas à droite “Modifier les options”, cela peut expliquer pourquoi vous ne voyez qu’une partie de vos amis (par défaut 250. Permet également d’afficher plus d’actualité ou de les supprimer pour un profil particulier).
Paramètres du fil d'actualité
5. «Consulter»  les profils de vos amis ne vous rendra pas plus visible à eux.
Peut-être avez vous pensé à cela alors que vous regardiez les photos d’une ancienne petite amie sur Facebook, à moins que ce ne soit sur une personne pour laquelle vous avez du respect. Est ce qu’en consultant et interagissant avec eux, cela vous rend plus visible à eux ?
Pour le découvrir, Phil a consulté pendant plusieurs jours des messages et des photos de quelques volontaires qui n’avaient pas encore vu Phil sur leur mur d’activité. Le résultat est clair: en aucune manière, le temps passé sur un profil autre que le sien n’a d’incidence sur la visibilité que ce dernier à sur vous.
6. Inciter vos amis à interagir autour de vos publications, vous y gagnerez en  popularité.
La  dynamique de la popularité est contraire à ce que l’on pourrait penser de prime abord. Elle vient de vos contacts et non de vous. Bien que Phil ait passé plusieurs jours a faire des mises à jour, la plupart de nos bénévoles n’en ont vu aucune. Nous avons donc demandé à quelques amis de Phil de lui montrer plus d’intérêt, et ce même s’il n’apparaissait pas dans leurs flux personnels. Ils sont donc allés à plusieurs reprises sur sa page, cliquant sur les liens qu’il avait publiés et en consultant ses photos. C’est à partir de ce moment que Phil a finalement commencé à leur apparaitre. Il a fallu quelques jours de constants clics, mais il est intéressant de noter que Phil commença à apparaître non seulement sur les flux des amis interagissant sur son profil mais également auprès d’autres amis à qui nous n’avions pas demandé d’agir sur le profil de Phil.
7. Le lien l’emporte sur la simple déclaration.
Vous considérez sans doute l’ensemble de vos réflexions fascinantes, ce qui n’est pas le cas de Facebook . À divers moments de notre test, Phil a alterné des mises à jour simples ne comportant que du texte et des liens vers d’autres pages internet.  Avant même notre précédente expérience, les publications de Phil qui apparaissaient auprès de ses rares amis avaient tendance à comporter en grande majorité celles avec des liens. Pourquoi favoriser les liens alors ? Peut être parce que les liens apportent du contenu plus riche, ce qui accélére et encourage la participation. Or si l’on participe en commentant un statut avec lien, on est présent et on passe son temps devant Facebook, ce qui est le but recherché par la plateforme de réseau social.
8. Les photos et les vidéos ont davantage de poids que le lien.
Tout comme les liens qui se sont avérés plus puissants que les mises à jour de statut dans notre précédente observation, on peut prouver que les photos et vidéos postés par Phil ont plus de visibilité que les liens. Il est probable que cela soit une question d’engagement qui soit à l’origine de cette visibilité disproportionnée à ce type de contenus.
Par ailleurs, lorsque l’on clique sur une photo pour la voir en plein taille, on reste dans Facebook. Facebook aime les clics, et les photos  en génèrent beaucoup (pensez aux albums et à chaque nouvelle page vue que cela génère).
9. La puissance des commentaires.
Les commentaires de vos amis ont clairement un effet sur votre visibilité globale.
Une fois que nos bénévoles ayant interagis avec Phil ont arrété de cliquer sur les liens et qu’un autre groupe d’amis à commencé à faire de même tout en laissant beaucoup de commentaires à Phil, nous avons observé une visibilité encore accrue de notre sexagenaire auprès de l’ensemble de ses amis.
10. Facebook, c’est comme le lycée.
Après des semaines de tests et après avoir tout essayé, il restait une poignée d’amis ne l’ayant toujours pas vu apparaitre sur leur profil, quelque soit le flux choisi (“A la une”, “Plus récentes”). Ces amis sont des profils particuliers que l’on peut appeler “Les jeunes branchés”, utilisateurs ayant 600 amis ou plus (pour information, les profils ayant vu Phil le plus tôt ont entre 100 et 200 amis). Donc l’astuce, si vous construisez votre réseau d’ami, est de ne pas avoir que des profils avec de nombreux amis. Mieux vaut exister auprès d’amis moins ou aussi bien lotis que vous sur leurs nombre d’amis plutôt qu’être invisible auprès de contacts étant bien plus solicités par un nombre d’amis beaucoup plus important. Vos amis, ayant peu d’amis vous verront plus, interagireront davantage avec vos publications et augmenteront donc indirectement votre visibilité globale auprès des profils plus fournis en amis.
Facebook n’a pas souhaité s’exprimer lorsque nous leur avons fait part de notre expérience et de nos conclusions. Cependant il est probable que Facebook calibre les variables à peu près dans les proportions qu’à révélé notre test et ce même s’il se peut que nos bénévoles aient raté quelques publications de Phil. Bien sûr, cette expérience n’ést pas infaillible et ne prétend pas dévoiler avec précision l’algorithme président la sélection de publication affichée à l’utilisateur.
Cependant, nous avons pu observer de visu la manière dont Facebook peut mettre en avant ou enterrer les publications que vous souhaitez partager avec vos amis. Pour l’utilisateur moyen, le fonctionnement de Facebook n’est pas important et la question est triviale. Mais pour les marketeurs souhaitant tirer profit de Facebook ou les personnes souhaitant l’utiliser pour se faire connaitre, comprendre comment se propage le contenu à travers le système est tout sauf un jeu.
Cela signifie aussi que de nombreux utilisateurs sont inconscients du pouvoir qu’ils ont mis dans ce réseau (Le concept même du news feed a été controversée dès qu’il a été dévoilé, comme relaté dans David Kirkpatrick L’effet Facebook.)
Vous pensiez partager ces belles photos ou votre récente promotion à l’ensemble de vos amis. Or, non seulement Facebook décide qui sera et ne sera pas dans les dernières actualités mais en plus il conserve le secret sur la façon dont il procéde.
Pendant ce temps, Facebook tout comme Google, continue de redéfinir «ce qui est important pour vous» comme «ce qui est important pour les autres.” Dans ces conditions, pour forcer le hasard et accélerer votre visibilité, il convient de communiquer directement avec ses amis dans le monde réel, ou du moins prendre le temps d’oublier un instant le mur par défaut et d’aller visiter les fiches de vos amis directement de temps en temps.
Thomas E. Weber s’occupe des sujets technologiques pour The Daily Beast. Il est chef de bureau et chroniqueur au Wall Street Journal. Il a été rédacteur en chef du primé SmartMoney.com. Suivez-le surTwitter.
Pour obtenir des renseignements, s’il vous plaît contacter The Daily Beast à editorial@thedailybeast.com.

Séquence La folksonomie


vous y trouverez ce lien qui relate les prouesses de malick Sidibé, un autodidacte qui est devenu célèbre par la qualité de ses photos



http://www.delicious.com/stacks/yenelaryedio

Séquence 5 Les cartes heuristiques


Séquence 4 Le flux RSS


technologie très intéresante, je me permets de vous laisser ce lien qui pourra vous guider dans la creation d'un Flux RSS.

Séquence 3 Le microblogging

Séquence 2 Les blogues

Séquence 1 Les outils de présentation


video réalisée après plusieurs echecs dù à un problème de mot de passe.


http://monexploit.blogspot.com/2012/05/my-animoto-video.html

http://animoto.com/play/jH0OVJuiHDiCwye8JVKMNQ

Séquence 0.2. Web2.0, Web 3.0



Cette séquence nous introduit à la création d'un blog. Ici il nous est demandé comme évaluation de:

  • Recherchez dans le web quelques articles pertinents sur le web 2.0, web 3.0
  • Vous devez répondre à cette question : Evolution du web, où en est-on ?
Je vous invite à partager ce article qui s'intitule comme suite:
 les outils Web 2.0 facilitent-ils l'intégration des nouveaux collaborateurs ?

Face au durcissement de l’environnement concurrentiel, à l’apparition de nouveaux espaces de communication et de collaboration, et à une utilisation de plus en plus importante des outils Web 2.0 (Wikis, Blogs, forum…) dans la sphère privée, il est aujourd’hui devenu indispensable pour les entreprises de s’approprier ces nouveaux outils collaboratifs. Elles doivent rivaliser de créativité pour se démarquer et convaincre les  et hauts potentiels de les rejoindre. En effet 74% des utilisateurs d’internet ont une impression plus favorable des sociétés qui utilisent les nouveaux médias comme moyen de communication [1].
De précédents articles parus sur le Blog RH de Sia Conseil ont montré que l’ des collaborateurs est un processus clé et stratégique pour les entreprises (L’intégration des salariés une étape clé à ne pas sous estimer) et que l’utilisation des outils Web 2.0 fait partie des bonnes pratiques à mettre en place en matière d’intégration (Les « best practices » de l’intégration).
Pour s’adapter à ce contexte, les DRH doivent donc innover dans leurs pratiques RH, en s’appuyant sur des technologies Web 2 .0 pour attirer, fédérer, motiver et fidéliser toutes les personnes dont les compétences sont essentielles pour le développement de l’activité de l’entreprise. En France, les réseaux sociaux sont déjà utilisés par 47% des recruteurs [2] et on observe la présence d’espaces collaboratifs dans 60% des intranets (en augmentation de 10% par rapport à 2010)[3]. Mais en ce qui concerne l’intégration, ces nouveaux outils contribuent-ils réellement à l’accueil et à l’intégration des nouveaux collaborateurs ?
Le Web 2.0 marque l’évolution d’une consommation passive « one to many », propre aux médias traditionnels (télévision, presse…), à une participation active, « many to many », où l’internaute, tout en demeurant consommateur, est aussi auteur, contributeur et évaluateur. Wikipédia en est la plus belle illustration.
Surfant sur cette tendance, et partant du principe que le processus d’intégration doit être de plus en plus complet et systématique, les DRH utilisent depuis quelques années les technologies Web 2.0 : Facebook, LinkedIn, blogs, YouTube,… Ces différents outils permettent d’échanger plus facilement avec les candidats potentiels et fournissent aux nouveaux collaborateurs tous les éléments afin qu’ils puissent être opérationnels plus rapidement.

Éventail des outils collaboratifs proposés dans les entreprises aujourd’hui, et projection sur 2012 – Observatoire de l’intranet – Enquête 2011
Cliquez sur l’image pour l’agrandir
Comment les outils Web 2.0 contribuent-ils à l’intégration de nouveaux collaborateurs ?
Voici quelques exemples de l’utilisation qui a pu être faite des technologies Web 2.0 en vue de contribuer à l’intégration des nouveaux collaborateurs :
Anticipation de l’arrivée des nouveaux collaborateurs : mettre à disposition en ligne, sur un portail (onboarding), les formulaires administratifs qu’ils devront remplir avant même l’arrivée dans l’entreprise, les trombinoscopes, l’historique de l’entreprise, l’organisation des équipes et la présentation de l’entité support…
Mise en place de processus collaboratifs et conviviaux : diffuser sur l’intranet une vidéo de bienvenue, des témoignages de collègues, des renseignements sur le code vestimentaire afin que le nouvel arrivant puisse s’approprier la culture de l’entreprise. Mettre en place des jeux et activités en ligne, moyens divertissants d’apprendre sur l’entreprise et de lier connaissance avec ses collègues. La banque BNP Paribas a lancé par exemple le « Serious game » Starbank, dont l’objectif est d’immerger le nouvel arrivant dans l’univers de l’entreprise pour qu’il puisse en assimiler la culture et les missions.
Automatisation du processus : faciliter les formalités administratives en diffusant sur le réseau la marche à suivre pour les procédures administratives, les modèles de formulaires, les contacts indispensables… Coordonner l’intervention des différents services et départements concernés pour l’arrivée du collaborateur (DRH, DSI, services généraux…) et permettre ainsi de diminuer les risques d’erreurs et d’optimiser l’efficacité de l’entreprise (formulaires électroniques, demandes de badges…).
Élaboration d’une carte des compétences des collaborateurs : gagner du temps dans l’identification des interlocuteurs, en effet les Wikis, blogs… peuvent mettre à disposition les CV des collaborateurs et proposent de détailler leur profil, missions, intérêts personnels… il est ainsi plus facile de s’adresser à la bonne personne.
Mise à contribution des nouveaux collaborateurs : lancer des brainstormings sur le nom d’un produit, un slogan…, publier des questionnaires de satisfaction anonymes, des rapports d’étonnement sur les blogs internes, mettre en place une boite à idées par l’intermédiaire d’un forum où les responsables RH répondent aux questions des collaborateurs, proposer des simulateurs… Ainsi les nouveaux arrivants se sentent « acteur » dès leurs premiers jours dans l’entreprise !
En définitive, l’utilisation des outils Web 2.0 dans la conception d’un processus d’intégration collaboratif offre un double avantage aussi bien pour l’entreprise que pour ses collaborateurs : d’une part la motivation des nouveaux embauchés estentretenue et ces derniers sont opérationnels plus rapidement et d’autre part ces mêmes outils Web 2.0 contribuent à accroître le degré d’implication des collaborateurs et, par conséquent, leur fidélité à l’organisation car il ne faut pas oublier que l’intégration s’étend bien au-delà des premiers jours dans l’entreprise.
Les risques et limites de l’utilisation de ces outils Web 2.0 pour l’intégration des collaborateurs
En premier lieu, il est important de s’interroger sur le type de population que l’entreprise souhaite intégrer. Les outils Web 2.0 utilisés pour faciliter l’intégration des jeunes diplômés issus de la génération Y rencontrent un franc succès, en effet cette génération est à la recherche d’interaction avec son futur employeur : d’où par exemple la présence de l’entreprise dans le monde virtuel Second Life, la promotion de l’entreprise par le biais d’un clip promo sur YouTube, ou encore l’utilisation de Twitter pour diffuser des annonces. Or toute la difficulté est detoucher l’ensemble des nouveaux collaborateurs et pas seulement les candidats à une première embauche. Les autres cibles qui ont moins l’habitude d’utiliser ces outils, qui sont très attachées à l’email ou aux rencontres physiques peuvent opposer une certaine résistance à ces nouveaux modes de collaboration ou être mises à l’écart.
Le principal risque de l’utilisation des technologies Web 2.0 dans le processus d’intégration du collaborateur est la déshumanisation des rapports, en effet la facilité des échanges virtuels peut être un frein aux rencontres physiques, qui sont pourtant encore indispensables.
De plus, pour être réellement utiles, les blogs, wikis et autre outils Web 2.0 mis en place dans les entreprises doivent être alimentés régulièrement par des contributions d’intervenants variés et nécessitent donc un effort d’animation important. Une étude menée par la société de mesure d’audience Hitwise, révèle que sur les sites de type Web 2.0, les internautes regardent mais participent peu : seulement 0,16 % des visiteurs du site YouTube viennent y partager leurs vidéos, les 99,84 % restant ne font que les consulter. Ces statistiques confirment la tendance de la règle des 1% : les deux tiers des contenus produits en ligne proviennent de seulement 1% des utilisateurs actifs [4].
Au-delà de la nécessité d’une équipe d’animation, il faut aussi en permanencecontrôler le contenu diffusé sur ces espaces collaboratifs ce qui est un travail très consommateur de temps !
L’importance du choix de l’outil et de l’accompagnement à la mise en place de celui-ci
Avant la mise en place de tout outil Web 2.0, les trois étapes suivantes sont nécessaires :
1. Faire un état des lieux de l’existant
2. Identifier le besoin
3. Expliquer la démarche
Premièrement, il faut faire le point sur le process et les outils existants dans l’entreprise pour traiter le processus d’intégration. Il faut veiller à ce que les nouveaux outils Web 2.0 ne viennent pas cannibaliser le reste du contenu des intranets.
Il est ensuite indispensable d’identifier le besoin réel de l’entreprise, certaines grandes entreprises avec une culture « traditionnelle » qui ont déjà du mal à digérer l’arrivée de la messagerie électronique et des ERP n’auront pas la même approche des outils que des entreprises plus innovantes dont le business est basé sur les nouvelles technologies (Google, Apple…).
Afin de définir le niveau de maturité de l’entreprise et des collaborateurs par rapport aux outils Web 2.0, et ainsi préciser au mieux le besoin, les questions suivantes apparaissent pertinentes :
• Quelle place les outils Web 2.0 vont-ils avoir dans le processus d’Intégration ?
• Qu’en pensent les décideurs ? Les DRH ?
• Qui seront les sponsors de ces nouveaux outils ?
• Quelles sont les mentalités et habitudes de mes utilisateurs ?
• Quels sont les objectifs du programme d’intégration ? Quelle durée ?
• Quels outils choisir, et quels moyens souhaitons nous y mettre ?
• Quelles valeurs souhaitons-nous diffuser ?
• Quel sera le rôle des collègues lors de l’intégration?
• …
Enfin une phase d’explication de la démarche est indispensable, il faut accompagner les nouveaux outils d’une phase de conduite du changement : pourquoi la mise en place de cet outil facilitera-t-elle l’intégration des nouveaux collaborateurs ?
Tout d’abord une explication est nécessaire auprès de la Direction (ce point est en nette amélioration : la Direction Générale est partie prenante dans le lancement des projets intranet dans plus de 50% des organisations [3]), mais aussi au sein des équipes pour prouver l’utilité de l’outil, sa valeur ajoutée pour faciliter les échanges et parfois même convaincre qu’il ne nuira pas à la productivité des salariés.
Finalement, pour mettre en place une politique harmonieuse de collaboration via des technologies Web 2.0 dans une entreprise, il faut avant tout miser sur la pédagogie et mettre en place un mix judicieux entre outils et « gestion des relations humaines ».
Il est important de souligner que l’introduction du « collaboratif » au sein de l’entreprise est plus une question de mentalité que d’outil en lui même : pour que l’outil Web 2.0 facilite réellement l’intégration des collaborateurs il faut avant tout que ceux-ci soient prédisposés à l’utiliser et qu’ils comprennent l’intérêt de celui-ci : quelle est la valeur ajoutée, quel gain de temps, quelles informations supplémentaires seront à leur disposition…
Néanmoins, plus l’outil sélectionné est pertinent plus il sera facile d’assurer la transition entre l’ancien mode de travail, et le nouveau.

Sources :
[1] eMarketer, octobre 2009
[2] Enquête Régions.Job « Les réseaux sociaux et le  en France », janvier 2011
[3] http://www.observatoire-intranet.com/ – Enquête 2011
[4] http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A8gle_du_1_%25

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